En effet, ils n'ont pas assez de personnalité pour s'inventer un rituel avec le public en reprenant celui des Islandais : https://www.youtube.com/watch?v=mav2kkvakGY ou  http://www.beinsports.com/france/euro-2016/video/meme-dans-la-defaite-le-clapping-islandais-es/292418
https://www.youtube.com/watch?v=gTq_vvyScTc
C'est aussi ridicule que si les rugbymans français reprenaient à leurs compte le haka Néo-zélandais. Surtout  Kapa o Pango...

Le clapping des Islandais me rappelle la rythmique de ça : https://www.youtube.com/watch?v=qGaOlfmX8rQ

Via http://sebsauvage.net/links/?dJomPQ

Ça déboise !

C'est toujours mieux que la soupe que l'on nous sert !
Programme 77 sur Freebox. Édit : suite à une mise à jour : position 265
Plus généraliste mais orienté jazz aussi ne pas oublier FIP (anciennement F.I.L dans ma région).

Beaucoup d'artistes disparaissent en ce moment…
Hubert Mounier est mort aujourd'hui.

je l'avais déjà repéré il y a quelques temps : http://deleurme.net/liens/?hLfflg

Ah ah, playbaqs mal synchronisé  pour le yeaaaaah ! ! ! !

https://www.youtube.com/watch?v=QcG4RvxW48c
Paroles de Louis Aragon ,musique et interprétation Jean Ferrat.
Ecrit après l'exécution par les fascistes en Espagne du poète Frédérico Garcia Lorca
Les paroles
Tout ce que l'homme fut de grand et de sublime
Sa protestation ses chants et ses héros
Au-dessus de ce corps et contre ses bourreaux
A Grenade aujourd'hui surgit devant le crime

Et cette bouche absente et Lorca qui s'est tu
Emplissant tout à coup l'univers de silence
Contre les violents tourne la violence
Dieu le fracas que fait un poète qu'on tue

Un jour pourtant, un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme, un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

Ah je désespérais de mes frères sauvages
Je voyais, je voyais l'avenir à genoux
La Bête triomphante et la pierre sur nous
Et le feu des soldats porte sur nos rivages

Quoi toujours ce serait par atroce marché
Un partage incessant que se font de la terre
Entre eux ces assassins que craignent les panthères
Et dont tremble un poignard quand leur main l'a touché

Un jour pourtant, un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme, un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

Quoi toujours ce serait la guerre, la querelle
Des manières de rois et des fronts prosternés
Et l'enfant de la femme inutilement né
Les blés déchiquetés toujours des sauterelles

Quoi les bagnes toujours et la chair sous la roue
Le massacre toujours justifié d'idoles
Aux cadavres jetés ce manteau de paroles
Le bâillon pour la bouche et pour la main le clou

Un jour pourtant, un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme, un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

J'aime bien la façon dont F.Lodéon raconte la musique et ses à-cotés.